Ça suffit, la paranoïa aveugle!

Inspiration & contexte: Ceci est plus un morceau coup de gueule inspiré d’événements récents de paranoïa excessive. Je l’ai construit exprès pour présenter au public un cas extrême, bien que plausible. L’intention de ce morceau est également de fournir un brin de perspective sur le problème et de faire réfléchir aux VRAIS risques et problèmes.

Ce texte est inspiré de divers événements d’actualité récente où des passagers innocents ont été débarqués de leurs avions du fait d’inquiétudes paranoïaques d’autres passagers, et ce pour des raisons de plus en plus absurdes. Il se présente sous la forme d’une série d’articles racontant un crash fictif et l’enquête qui s’ensuit.

Les événements cités dans ces articles sont fictifs et ne servent que de commentaire sur la situation actuelle. Certains noms concernent de vraies personnes et organisations, mais ceci NE REFLÈTE PAS NÉCESSAIREMENT leurs vraies opinions et pensées. J’ai simplement placé ici ces noms pour le réalisme et pour insister sur l’idée du texte.

Et maintenant, place au texte…

CRASH MYSTÉRIEUX D’UN AVION EN PLEIN NEW YORK

New York, le 3 mai 06h12 – de Damien C., envoyé spécial

Un avion s’est écrasé hier soir dans Prospect Park, un espace vert de Brooklyn, un quartier de New York, après une suite d’événements très étrange.

L’avion, un Boeing 737 de United Airlines, volait en rond autour de l’aéroport John F. Kennedy de New York vers 22h30 et ne répondait pas aux appels radio.

Après une heure passée à essayer sans succès d’entrer en contact radio avec l’avion, les autorités ont dépêché deux avions de chasse sur les lieux pour le suivre et, si besoin, l’abattre afin de limiter les risques pour les civils au sol.

Les pilotes de chasse ont signalé que l’avion ne répondait pas non plus à leur présence ou à leurs appels radio à eux.

Un des pilotes, qui s’est approché du cockpit du 737, a également signalé quelque chose d’étrange: malgré l’obscurité, il lui a semblé que le cockpit était vide. Les pilotes du 737 avaient peut-être été mis hors d’état de piloter.

Tout de suite a surgi la peur d’une action terroriste. Un négociateur du FBI a été convoqué pour essayer lui aussi de contacter l’avion, mais toujours sans réponse.

Après une demi-heure supplémentaire, les feux de l’avion se sont éteints et le 737 commença à plonger vers le sol. C’est à ce moment-là que le pilote du chasseur situé derrière l’avion décida de lui envoyer un missile, afin de le faire exploser, et pour que les débris plus petits causent moins de dommages au sol. Ce plan semble avoir en partie échoué, car l’avion n’a même pas explosé.

L’avion s’est écrasé dans Prospect park à 23h47.

Aucune victime au sol n’est encore à déplorer pour l’instant.

Les détails sur le vol sont encore à venir, et l’enquête vient de commencer.

Le NTSB (Bureau national pour la sécurité des transports, NDLR) et le FBI sont arrivés presque immédiatement sur les lieux, et ont établi un périmètre de sécurité autour de l’épave.

Pour l’instant, les enquêteurs n’ont pas encore fourni d’information officielle. Greg Feith, un enquêteur du NTSB, indique cependant, “Il est simplement trop tôt pour dire quoi que ce soit. Il y a tellement de choses bizarres dans ce crash, et il nous faut bien plus d’information. Nous ne pouvons pas nous laisser mener par les sentiments, il nous faut nous concentrer sur les faits.”

Il semblerait donc qu’il faudra plus de temps pour creuser jusqu’au fond de ce crash étrange. Nous actualiserons cette section dès que nous aurons de nouvelles informations ❑

LE CRASH A NEW YORK SEMBLE AVOIR ÉTÉ UN ‘VOL FANTÔME’

New York, le 3 mai 08h27 – de Damien C., envoyé spécial

Dans un communiqué officiel ce matin, le FBI et le NTSB (Bureau américain pour la sécurité des transports) indiquent certaines circonstances très étranges liées au crash.

Les officiels du NTSB confirment qu’ils qualifié cet accident d’“impossible à survivre”.

L’armée de l’air américaine a mené une enquête interne sur les événements d’hier soir, mais les témoignages des deux pilotes impliqués sont justes et cohérents avec les faits, les données radar etc. Ils ont donc été mis hors de cause, n’ayant fait que suivre leurs ordres et protocoles.

Du fait de l’obscurité et d’une pluie torrentielle ayant commencé immédiatement après le crash, les enquêteurs se sont surtout concentrés sur la récupération des enregistreurs de vol, couramment appelés “boîtes noires”. Ces dernières ont été retrouvées et dépêchées au siège du NTSB pour une analyse détaillée.

L’enregistreur de données de vol (FDR, flight data recorder, en anglais), qui suit les paramètres des surfaces de contrôle de l’avion, les niveaux des moteurs, et plein d’autres senseurs environnementaux et de navigation, indique que tout était en règle et fonctionnel à bord de l’avion. En fait, celui-ci a décollé tout à fait normalement, puis est passé au pilotage automatique pour le restant du trajet. Vers la fin, le pilote automatique a maintenu l’avion en l’air dans un circuit d’attente au-dessus du quartier de Brooklyn. Au bout d’un moment, les niveaux de carburant dans les réservoirs sont tombés à zéro et l’avion a commencé à tomber.

L’enregistreur vocal du cockpit (CVR, cockpit voice recorder, en anglais) a été légèrement endommagé pendant le crash, mais les enregistrements ont été récupérés. A part de légères interférences, ils n’ont détecté aucun son dans l’enregistrement. Ils attribuent cela, pour l’instant, à des micros défectueux ou des problèmes dans les circuits d’enregistrement du CVR.

Jusqu’à présent, tous les éléments semblent indiquer un accident comme celui du vol Helios Airways 522. Le 14 août 2005, et parce que l’interrupteur contrôlant la pressurisation de la cabine n’avait pas été remis en position automatique par un technicien au sol, les passagers et l’équipage du Boeing 737 ont fini sans connaissance du fait de la teneur réduite en oxygène de l’air à 10 000 m, et l’avion a fini au pilote automatique dans un circuit d’attente au-dessus d’Athènes, sa destination prévue. L’avion a fini là aussi par s’écraser faute de carburant.

Bien sûr, ce parallèle a soulevé des craintes concernant la conception et construction du Boeing 737. Serait-il possible qu’il souffre d’une faille plus large et plus insidieuse, une faille ayant pu affecter à la fois le vol Helios et celui-ci? Boeing nie tout en bloc. En effet, selon l’ingénieur Boeing Mark Gregoire, “Depuis la série de problèmes de gouvernails de 737 dans les années 1990, l’intégralité du design de l’avion a été revu et vérifié, et aucune faille de ce genre ne pourrait apparaître dans un système aussi important que le gouvernail ou la pressurisation de la cabine.”

LES SURVIVANTS DU CRASH DE NEW YORK RACONTENT UNE HISTOIRE ÉTRANGE

New York, le 3 mai 13h32 – de Damien C., envoyé spécial

Quelques heures à peine après leur premier communiqué concernant l’enquête sur le crash dans un parc de New York du vol qu’on sait maintenant être le vol United 151, il est apparu de nouvelles informations très étranges.

Tout d’abord, après analyse des débris au laboratoire du FBI à Quantico (Virginie), les enquêteurs n’ont retrouvé aucune trace d’explosifs à part ceux du missile. Il n’a par ailleurs aucune trace d’activité illégale ou problématique à bord.

Il semblerait en effet que les seuls éléments de preuve dont on dispose seraient que l’avion a commencé à plonger, puis été abattu.

Fait d’autant plus étrange, l’enquête du NTSB confirme qu’aucune trace de cadavres ou de bagages n’a été retrouvée à bord. Par ailleurs, les témoignages des pilotes de chasse indiquent qu’aucune des portes de l’avion n’avait été endommagées.

Ceci est confirmé par des informations choquantes provenant… des passagers du vol.

Ce matin, le NTSB a qualifié ce crash d’“impossible à survivre”. Cependant, ce sont des passagers bel et bien vivants qui racontent à présent leur histoire. Ils l’ont expliquée aux médias depuis Charleston (Virginie-Occidentale), lieu de départ du vol, où ils indiquent qu’ils furent délaissés… alors que l’avion partait sans eux.

Plusieurs des passagers indiquent que l’avion a été évacué peu avant le départ, mais aucun d’entre eux ne sait pourquoi.

Pour l’instant, nous n’avons pas réussi à joindre les pilotes prévus pour ce vol pour une explication supplémentaire. D’après nos informations, la compagnie les empêche de parler à la presse.

Nous avons cependant parlé à certains de leurs collègues, qui sont aussi complètement confus par cet incident. “Il n’y a absolument aucune raison de faire partir un vol sans passagers ni équipage”, raconte l’un d’eux, en ajoutant “C’est très mauvais pour la compagnie, ça entraîne des coûts considérables et irrécupérables”.

Nous avons parlé à des contrôleurs aériens de la région, mais selon eux le vol circulait de façon tout ce qu’il y a de plus normale, et semblait répondre aux instructions jusqu’à disparaître du radar et entrer en mode silence radio au-dessus du quartier de Brooklyn. “La communication avec le vol fonctionnait sans problème jusqu’à peu près 22h20, quand l’avion a disparu.”, did l’un des contrôleurs ayant suivi l’avancée du vol jusque dans la région de New York.

Il reste maintenant aux enquêteurs un dilemme important: comment se fait-il que le vol ait été vide, et comment, étant vide, arrivait-il à répondre aux instructions et indications des contrôleurs aériens? Et enfin, comment a-t-il fini par s’écraser en pleine zone urbaine?

Nous continuerons à suivre l’avancement de l’enquête

RÉVÉLATIONS CHOC SUR LE CRASH DE NEW YORK: LA COMPAGNIE CONFIRME QUE LE VOL EST PARTI VIDE

New York, le 4 mai 10h45 – de Damien C., envoyé spécial

L’enquête se poursuit concernant le crash de New York, et continue à révéler des éléments très étranges. Les enquêteurs ont déjà établi que le vol est parti vide, sans passager, équipage ni bagages, de Charleston vers l’aéroport Kennedy à New York. Mais jusqu’à présent, il a été difficile de joindre qui que ce soit pour obtenir plus d’informations sur le pourquoi du comment de cet accident.

L’un des passagers à qui nous avons parlé se souvient que le vol a été évacué pour “des raisons de sécurité”. Les passagers n’ont reçu aucune information sur les détails de ces raisons de sécurité.

Le personnel au sol à Charleston nous en a dit plus. Une hôtesse au sol, qui travaillait à la porte d’embarquement (elle a voulu rester anonyme) indique qu’une passagère avait émis des réserves concernant la sécurité du vol, ce qui a mené à une évacuation totale de l’avion. Elle a indiqué que la compagnie avait insisté pour qu’elle ne révèle ceci à personne, mais elle nous l’a dit car elle considérait que c’était son devoir.

Depuis le début de cette enquête nous avons essayé de joindre la compagnie aérienne, mais jusqu’à présent personne n’a accepté de répondre à nos questions sur le vol. Ce matin, nous avons enfin pu parler à quelqu’un chez United Airlines, qui a également préféré rester anonyme.

“D’après les rapports officiels, le vol a été évacué parce que cette passagère s’inquiétait que les passagers, l’équipage et les bagages impliquent un risque de sécurité pour le vol, et que rien de tout cela ne devrait être autorisé sur le vol.” dit-il. “Elle a signalé que n’importe quel membre d’équipage ou passager pourrait mettre le vol en danger, et que tout élément de bagage peut contenir des substances dangereuses, et qu’elle ne voulait pas prendre ce vol dans ces circonstances.

Lorsque l’équipage a tenté de raisonner avec cette passagère, signalant les évidentes failles logiques dans son raisonnement, elle a cherché à parler aux responsables locaux de la compagnie. « À un moment, on a même dit à la passagère que si elle ne se sentait pas à l’aise pour voler dans ces conditions, elle ne devait peut-être pas prendre l’avion pour commencer”. Ce à quoi la passagère offensée a menacé d’attaquer la compagnie aérienne en justice pour mise en danger volontaire de centaines de vies. Ainsi, le vol a été évacué.

Ceci rappelle nettement les récents incidents ayant vu des passagers innocents débarqués de leurs vols pour des raisons arbitraires. Il y a quelques mois, un homme a été débarqué simplement parce qu’il parlait arabe au téléphone, ce qui inquiéta sa voisine. Quelques jours avant l’accident de New York, un autre a été évacué parce que, bronzé et barbu, il écrivait des “formules mathématiques suspectes” dans un cahier, et son voisin s’inquiétait que ça puisse avoir un rapport avec une bombe placée à bord.

Cette fois-ci, cependant, la question semble avoir été poussée à son comble.

Nous avons tenté de joindre la passagère offensée pour plus de détails sur sa prise de position, mais il s’avère qu’elle est décédée dans un accident de voiture près de chez elle à Charleston.

Il restait encore la question de comment l’avion a réussi à décoller et voler sans passagers ni équipage. Lorsqu’on l’a interrogé à ce sujet, notre contact chez United a dit que “le vol était contrôlé à distance pendant le décollage, puis guidé par un régime strict de pilotage automatique, avec de temps en temps une intéraction par radio avec les contrôleurs aériens pour s’assurer que le vol ne rencontre pas de problèmes, et pour ajuster la trajectoire de l’avion en fonction des instructions des contrôleurs. Ceci était pour limiter les risques liés aux pilotes eux-mêmes.”

Alors comment l’avion a-t-il fini en mode de pilotage automatique à tourner en rond autour de l’aéroport John Kennedy, pour ensuite s’écrase du fait d’avoir épuisé son carburant? “Il y a des raisons de soupçonner une panne de communications radio entre les pilotes à distance et l’avion peu avant son arrivée dans la zone de l’aéroport.”

Le NTSB enquêtera sans doute sur cette faille de communications, et découvrira certainement ses causes. Pour l’instant, en revanche, ils refusent de commenter dessus

LE CRASH DE NEW YORK DEVIENT UN SCANDALE MAJEUR

New York, le 5 mai 09h36 – de Damien C., envoyé spécial

Depuis les révélations d’hier sur les circonstances étranges du vol United 151, la compagnie aérienne s’est retrouvée au centre d’un scandale, avec une pression énorme de la part des autorités comme du public pour qu’ils expliquent les événements liés au crash. Les réseaux sociaux ont explosé en discussions effrénées et commentaires fâchés utilisant un langage de plus en plus fort et virulent. Les /hashtags/ (mots-dièse) #DissimulationUA151 et “AirParanoïa sont à la mode depuis.

Mais ce n’est pas tout. Dans un communiqué officiel ce matin, la compagnie a défendu sa décision, disant que « pour des raisons financières, il était mieux de faire partir le vol normalement, même vide. (…) La série de failles de communication étaient, au final, la cause de la chute du vol, et sans elles, nous aurions pu faire atterrir l’avion sans problème.”

L’onde de choc de ces révélations n’a fait qu’ajouter au scandale. L’opinion du public semble être que la compagnie se préoccupait plus de ses bénéfices que de fournir un service aux clients. Dans les heures qui ont suivi ce communiqué, Twitter et Facebook ont de nouveau explosé, attaquant la compagnie au moyen de mots encore plus durs et violents (que nous ne publierons pas ici)

Aussi, les passagers du vol ont déjà collectivement attaqué la compagnie en procès, soutenant qu’elle refusait de leur rembourser plus de 20% du prix de leurs billets. La compagnie rétorque qu’ils étaient déjà enregistrés sur le vol et étaient donc légalement tenus de voler, et que l’évacuation du vol n’était pas entièrement de la faute de la compagnie.

On ne sait pas encore pourquoi plusieurs systèmes de communication radio ont pu tomber en panne au même moment. Le NTSB et la FAA (l’organe fédéral américain de régulation des transports aériens) insistent qu’il s’agit d’une combinaison de pannes, mais comme d’habitude sur ces questions, il est difficile d’obtenir des preuves claires. Le NTSB a analysé les communications d’après les données du FDR, et il semblerait que la fréquence radio sur laquelle la radio de l’avion était en écoute ait été changée, et que les systèmes au sol aient été incapables de recontacter le vol sur d’autres fréquences. Ce qui pose d’autres questions. Déjà, parce que la fréquence n’aurait pas dû pouvoir changer de manière automatique. Mais de plus, parce que même sur une autre fréquence, on aurait dû pouvoir joindre l’avion depuis le sol.

Bien entendu, ceci a relancé beaucoup de théories de conspiration, la principale traitant ici de cyber-terrorisme. Certains disent même que cet accident ne serait autre qu’une répétition pour une attaque de plus grande ampleur. Nous rappelons à nos lecteurs que cette hypothèse était une de celles envisagées après la disparition du vol Malaysian 370. Ce vol-là décolla le 8 mars 2014 de Kuala Lumpur pour Pékin. Mais après moins d’une heure, le contact radio avec le vol a été perdu, et l’avion fit plusieurs virages à gauche avant de finir pendant des heures sur une trajectoire vers le sud au-dessus de l’océan indien (d’après des informations récupérées par les satellites). On ne sait encore rien de  pourquoi le vol a cessé de communiquer ou dévié de sa route, et certains soupçonnent que quelqu’un ait pu pirater les systèmes de l’avion pour le dévier et le faire disparaître.

Partant de cette peur, certains préconisent même une cessation de tous les vols commerciaux jusqu’à ce qu’une enquête prouve ces peurs infondées. Pour des raisons évidentes, ceci ne serait pas pratique et coûterait cher à l’économie, comme on a vu après les attaques du 11 septembre 2001 ou l’éruption du volcan islandais Eyjafjallajökull en 2010.

Tentant de calmer les spéculations et ramener le public à la raison, la FAA a émis un communiqué officiel rappelant à tout le monde que “le risque zéro n’existe pas de toutes façons. Si on voulait vraiment prendre absolument aucun risque, ni l’industrie aéronautique, ni d’ailleurs aucune autre industrie, n’existeraient. Et même cela ne suffirait pas.”

D’autres encore indiquent, dans ce sens, que la passagère ayant causé cet incident, celle qui soutenait que les passagers, l’équipage et les bagages constituaient tous un danger pour le vol, est décédée d’un accident de voiture, dont la probabilité est 90 fois plus élevée que la probabilité de périr dans un accident d’avion, sans même parler d’un accident provoqué par une action terroriste.

La controverse ne fait que commencer, et seul le temps dira comment elle évoluera et finira.

Notre journal ne prend pas généralmenet position de manière publique sur ce genre de sujets, mais dans ce cas-ci nous ferons exception. Bien que nous applaudissons les efforts et initiatives de citoyens individuels pour l’amélioration de la sécurité publique, nous encourageons cependant nos lecteurs, et le public en général, à rester plus raisonnables concernant ces questions, surtout en ce qui concerne les stéréotypes. Comme le souligne la FAA, il n’existe pas de situation au risque zéro, et même sans s’inquiéter d’intentions criminelles, il y a déjà bien assez de risques liés au secteur aéronautique comme ça. La seule chose qu’on peut faire est ce qu’on fait déjà depuis le début: bâtir le système avec toutes les mesures de prévention possibles, et l’adapter chaque fois que surgissent de pareils incidents. Nous ne pouvons prévoir toutes les situations possibles, et nous ne pouvons pas non plus anticiper tous les risques.

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