La Veuve

AVERTISSEMENT: Contenu pour adultes

AVERTISSEMENT AUX ÂMES SENSIBLES: Avec tout le bruit récent autour du thème du harcèlement et de l’abus sexuel, et les scandales divers et variés de ces dernières années un peu partout dans le monde, le sujet de cette histoire pourrait être assez controversé. Et oui, je sais bien qu’un certain (faux?) blond a commencé à dépeindre les hommes comme éternelles victimes d’accusations bidon ou sans fondement portées au mauvais moment ou pour les mauvaises raisons. J’ai écrit cette histoire avant et sans aucun rapport avec les maladresses du Président Autoblondzant.

Qu’on soit clairs, je désapprouve complètement de la manière dont certains ont utilisé cela pour des motifs politiques maladroits. Je pense cependant que ça soulève un point important et une possibilité malheureusement très présente. Et j’ai hésité à publier cette histoire, sachant le retour de bâton auquel je m’expose. Ce qui m’a finalement convaincu, c’est quand j’ai vu une histoire réelle d’un tel cas. En effet, un ami a été délibérément ciblé d’une manière semblable sans qu’on lui ait donné la possibilité de se défendre, pour les mêmes raisons politiquement correctes.

Tout cela étant dit, bonne lecture!


Je n’aurais jamais imaginé, en entrant dans le hall d’accueil de l’hôtel cinq-étoiles ce soir-là pour ma soirée à tenir le bar, dans quel pétrin j’allais finir. D’habitude les boulots que je trouvais étaient dans des petits bars limite insalubres dans mon quartier, et dans ceux-là je ne côtoyais jamais que des gens avec qui je pouvais facilement m’entendre, d’autre gens de classe moins favorisée, peu éduqués et travaillant comme ouvriers, personnel de ménage, concierge, etc. Rares étaient les occasions où je trouvais un boulot dans le centre-ville, et même là, le « luxe » que j’y voyais se résumait aux locaux propres et aux banquiers en costard et cravate.

Mon ami Rick avait décroché ce boulot-ci, mais la maladie de sa grand-mère l’avait obligé à s’absenter quelques jours, et pour cette raison il m’avait recommandé pour le remplacer. Ça peut paraître ingrat de le dire comme ça, mais c’est grâce à la mamie de Rick que j’étais là ce soir-là, mal à l’aise dans une tenue prêtée et légèrement trop grande, en train de travailler lors de cet événement. Je n’allais certes pas me plaindre, la paie était pas mal plus élevée que ce que je gagnais habituellement pour une simple nuit de boulot, et je m’acharnais à faire bonne impression afin d’essayer de dégoter d’autres offres dans ce genre à l’avenir, et peut-être même un poste permanent.

L’événement où je travaillais était une fête très opulente au Ritz Carlton, comprenant des gens tels Machin Riche et Truc Encoreplusriche. Le genre de fête à laquelle je n’avais jamais eu la possibilité d’assister, même en simple témoin. Mais cette fois-là, j’y étais. Certes, je servais à boire, mais j’y étais. Je ne connaissais aucun des convives en personne. Pour certains, je savais qui ils étaient pour les avoir vus à la télé ou parce qu’ils occupaient des postes haut placés je ne sais où. Finalement ça m’a vite intéressé d’observer ces gens. Ils me paraissaient limite exotiques, comme des touristes ou des notables étrangers.

Quand on m’a pris pour ce poste, je m’attendais à me sentir jaloux à la vue de tous ces guignols exhibant pompeusement leur richesse et leur pouvoir. Et au début c’était le cas. Ils semblaient si différents, si étrangers, si condescendants et distants. Je m’entendais habituellement très bien avec mes clients, et dans de nombreux cas j’étais devenu une sorte de confident payé à l’heure pour personnes ivres avec des problèmes quotidiens, mais ces gens-là me semblaient vraiment distants. Je ne m’attendais pas à pouvoir un jour être en mesure d’avoir une conversation à leur niveau, et m’attendais à passer la soirée à me sentir seul, coincé dans mes pensées et mes observations, avec une touche de jalousie. Mais quand j’ai entendu de quoi discutaient quelques uns d’entre eux alors qu’ils étaient près du bar, je me rendis compte qu’ils m’étaient bien plus semblables que je pensais.

Une fois mis de côté le snobisme qui menait la plupart d’entre eux à m’ignorer royalement, je me rendis compte qu’ils avaient plus ou moins les mêmes centres d’intérêt que nous autres basses gens. J’écoutais un couple discuter passionnément de la Coupe du monde, par exemple, et plus particulièrement de quelles équipes se débrouilleraient le mieux en fonction des nouvelles des joueurs. Un petit groupe était en plein débat sur la très controversée dernière saison de Game of Thrones, et leur conversation était tellement animée que j’en entendais la moitié depuis l’extrémité opposée du bar. Un autre groupe parlait des récentes manifestations populaires de Je-ne-sais-où et la crise de réfugiés de Cet-autre-pays-là-bas. Certains semblaient même avoir de réelles convictions altruistes et vraiment se soucier du sort des moins favorisés, selon ce que j’entendais des deux hommes et une femme qui échangeaient des nouvelles de leurs dons au fonds local d’aide aux vétérans de guerre.

Et ça m’a sincèrement choqué quand un couple commença carrément à me parler à moi. Au début ils parlaient de la fête, mais très vite ils se présentèrent. Il s’agissait de Patty McPherson et de son mari Steve. Même après ce que je venais d’observer de ces gens-là, je m’attendais encore à ce qu’ils me regardent avec dédain du haut de leur position sociale, mais là encore ils m’ont surpris. Ils discutaient avec moi avec une aisance évidente. Je devinai que ces deux-là étaient sans doute plus sensibles que la moyenne aux gens de milieux différents, même si à ce point j’aurais dû m’être déjà rendu à l’évidence que malgré nos différentes positions sociales nous n’étions finalement pas si différents.

Quand je leur ai dit de quel quartier je venais, au lieu de prendre un ton condescendant, ils ont montré un réel intérêt. Steve me posa des questions sur les incidents récents là-bas et Patty s’intéressa à comment la communauté arrivait à surmonter et gérer la situation. Ils m’ont dit qu’ils étaient impliqués dans un projet de réabilitation de cette banlieue depuis le début des émeutes, et qu’ils étaient très contents des résultats jusqu’alors. J’avais également entendu parler de ce projet et acquiesçai avec enthousiasme. Le projet fournissait des cours gratuits de business, de comptabilité, de gestion de projets et d’autres sujets importants dans un quartier plein de PME en difficulté, et certains de mes plus proches amis en avaient grandement bénéficié. Lorsque je leur ai raconté plus précisément l’histoire de comment mon ami Daryl avait réussi à étendre sa boutique grâce à ces cours, ils étaient très contents et me confièrent que c’était particulièrement touchant de recevoir du feedback directement des personnes concernées. Ils m’assurèrent aussi qu’ils étaient certains que le quartier se porterait très vite mieux, et laissèrent même entendre que le projet visait à embaucher bientôt certains des bénéficiaires à temps partiel pour transmettre à d’autres encore les compétences qu’ils avaient apprises.

Très vite mes préjugés sur l’assistance tout entière avaient fondu comme neige au soleil. Je commençais sérieusement à croire que ce n’étaient pas des bourgeois pompeux prenant tout le monde de haut, mais de simples êtres humains avec une longueur d’avance dans la vie. Je commençai à me rendre compte que je pouvais malgré tout profiter de cette expérience, même si ça restait encore plus difficile qu’avec mes piliers de bar habituels. On a continué encore un moment à discuter de mon quartier, mais ensuite quelqu’un les a entraînés dans une autre conversation et ils disparurent de nouveau dans la foule. Je ne pouvais pas leur en tenir rigueur. Ils n’étaient après tout pas là pour discuter avec le barman. Mais j’étais content qu’ils aient pris le temps de le faire.

Une heure plus tard, Patty était de retour pour commander une boisson. Elle commanda un cocktail que je ne connaissais pas du tout. Elle me raconta qu’il s’agissait d’une recette du patelin de sa grand-mère, et sa préférée de loin. Elle m’indiqua comment le faire. C’était bien plus délicat que je pensais, parce que ça demandait un type de brandy. Comme elle disait: «Sans ce brandy-là, ce n’est pas du tout le même cocktail» Il m’a fallu un moment pour le trouver, mais heureusement il y en avait une bouteille, rangée, je ne savais pas pourquoi, loin des autres. Je finis de préparer le cocktail sans autre délai et le lui servis. Elle me remercia avec un grand sourire et disparut de nouveau, cocktail en main.

Ce sourire m’a fait beaucoup d’effet, et me laissa pantois pendant quelques minutes. C’est à ce moment-là que j’ai constaté qu’elle était très belle malgré ses 45 ou 50 ans. Elle avait une silhouette très agréable, mince mais pas maigre, le visage rond, une peau raisonnablement lisse avec juste un brin de rides, le tout vêtu d’une robe qui lui allait comme un gant et accentuait ses formes. Elle était de ces femmes qui sont belles et le savent, mais n’en font pas tout un plat et ne friment pas. Elle était riche, certes, mais cette richesse s’exprimait au moyen de choix de style assez minimaliste. Pas de fioritures, de fourrures, de colliers ou de bracelets m’as-tu-vu, juste une robe en satin noir sur mesure, une montre élégante mais discrète au poignet, son alliance et sur l’autre main une autre bague, et des boucles d’oreille très simples pour couronner le tout.

Un autre convive arriva à ce moment-là pour commander à boire, ce qui m’obligea à me remettre au travail. Un autre groupe de convives venait d’arriver d’un autre événement, et il y avait la queue au bar, ce qui m’occupa un bon moment. Le reste de la soirée se déroula normalement, sans autre événement notable. Vers la fin j’ai commencé à préparer la fermeture du bar et ensuite à partir.

Soudain Patty était de retour. On se remit à discuter, et j’étais étonné de voir combien c’était facile, combien j’étais à l’aise. On a parlé de mon quartier, et elle m’a confié qu’elle y avait vécu quelques années pendant son enfance, avant que je ne sois une lueur dans l’œil de mon père. On échangea des souvenirs. J’étais curieux d’en savoir plus sur son expérience là-bas, venant d’un monde aussi huppé, et elle s’intéressa à ma propre enfance. Il s’avéra qu’elle n’avait pas grandi dans la richesse et le luxe, mais dans une famille de classe moyenne plutôt moins favorisée. Une fois son père a perdu son poste au centre-ville et n’en a trouvé un autre que dans ce quartier, donc ils y ont déménagé pour économiser. Ce n’est que lorsqu’elle est devenue avocate qu’elle a commencé a monter dans les rangs. Je me fis la réflexion que cela devait expliquer en grande partie ses tendances altruistes et l’intérêt qu’elle porte à ce coin de la ville.

Puis le gérant me fit signe que c’était l’heure de ranger et fermer. Je m’excusai auprès de Patty mais elle resta là pour continuer la conversation. Elle commença à me raconter des procès qu’elle avait pris en charge comme bénévole. Elle affectionnait tout particulièrement des cas de violence conjugale et avouait être une féministe assez vocale. Il s’est trouvé que l’un des cas qu’elle avait traité était celui de ma sœur Dalia, quand elle sortait avec un abruti qui la battait régulièrement. Que le monde est petit! Lorsque j’eus fini de fermer le bar je suis allé au vestiaire pour enlever l’uniforme de l’hôtel et le rendre. Puis je me suis retrouvé debout à côté de Patty dans la réception de l’hôtel, toujours en pleine conversation.

Puis elle m’invita à la rejoindre dans sa chambre pour un verre de plus. Cette proposition me choqua. Il ne m’était jamais venu à l’idée que quiconque de ce monde s’intéresserait autant à moi. Je me suis même demandé l’espace d’un instant si ça aurait été acceptable ou approprié, au vu de ma situation. Ils étaient mes clients, après tout, j’étais sûr que ça serait mal vu. Mais avec elle je m’étais senti à l’aise toute la soirée. J’ai hésité une seconde, puis elle insista, disant qu’on serait plus à l’aise là-haut. Puis elle me fit à nouveau ce sourire et me pris par le bras, et je sentis ma résistance s’évaporer. Je m’arrangeais avec ma conscience en me disant que j’avais fini de travailler de toutes façons, et que j’avais été embauché juste pour la soirée. On ne s’attendait pas à ce que je sois de nouveau là le lendemain. Finalement j’ai accepté et je l’ai suivie.

On prit l’ascenseur jusqu’au 16e étage. Une fois arrivés, elle alla directement vers le mini-bar de la chambre pour en sortir une bouteille de vin, qu’elle me tendit avec un tire-bouchon. Fort de mon expérience de barman, j’ai débouché la bouteille et servi deux verres. Elle s’assit sur le lit et me fit signe de m’asseoir à côté d’elle. On leva nos verres et se mit à déguster, tout en discutant. Au fur et à mesure qu’on parlait je la vis s’approcher de moi de manière suggestive. Maintenant ses intentions étaient claires, elle voulait des relations intimes. Je n’étais pas sûr de comment réagir. Je ne savais pas si je devais m’excuser et m’en aller ou me laisser faire. Elle continua à sourire, ce même sourire enchanteur. J’arrivais de moins en moins à résister à la tentation.

Après plusieurs verres de vin de plus, elle se frottait à moi, et posa carrément sa main sur ma jambe, tout près de l’entrejambe. La réaction ne se fit pas attendre. Un peu pompette, et maintenant pas mal excité, je me laissai faire et me mis à l’embrasser. On s’est embrassés de la sorte pendant plusieurs minutes paradisiaques, puis elle commença à jouer avec ma braguette. L’espace d’un instant je suis revenu à mes esprits, constatant où j’étais et ce que je faisais.

« Non, il faut qu’on arrête. Faut pas qu’on fasse ça. T’es mariée.

– Je suis veuve.

– Hein? Mais j’ai rencontré ton mari il n’y a pas trois heures!

– Mon mari est décédé, il y a eu un accident.

– Ah, je n’en savais rien.

– Personne n’en sait encore rien.

J’étais sidéré par la nouvelle.

– Et toi, tu… euh…

– C’était un gros porc autoritaire. Bon débarras! A présent, je profite de ma liberté. Allez! » J’aurais peut-être dû à ce moment-là avoir la puce à l’oreille.

Mais malgré mon hésitation, le sourire me laissa transi. Et avant que je ne puisse faire quoi que ce soit, elle avait défait ma braguette et s’était mise à me faire une gâterie. Quelques minutes plus tard on faisait l’amour passionnément.

Le lendemain matin, je me suis réveillé à côté de Patty. Mais… elle n’était plus tout à fait elle-même. Toujours nue, elle était ligotée et bâillonnée, et elle hurlait tant qu’elle pouvait, ce qui devait être ce qui m’avait réveillé. Ne sachant pas ce qui était arrivé, et choqué par la situation, je me suis approché d’elle pour la délier. Elle recula tant bien que mal, terrifiée. Dans son état hystérique, elle luttait contre tout, même moi qui tentais de la délivrer. Je n’ai même pas envisagé la possibilité que celui qui l’avait ligotée pouvait toujours être dans la chambre et que je pouvais être en danger moi-même. Tout ce que je savais, c’est que quelqu’un avait fait ça, et que ça ne pouvait que difficilement être pour des raisons bien positives. J’ai juste fait ce qui me paraissait le plus logique, tenter de la sauver.

Il m’a fallu du temps, parce qu’elle gigotait et criait tellement que ça me rendait la tâche difficile. Quand j’ai enfin réussi, elle a tout de suite commencé à lutter, à me repousser, même à me griffer le visage tellement fort que j’ai commencé à saigner généreusement. Elle était clairement encore en état de choc et terrorisée, et avait d’abord besoin de se calmer. J’ai essayé de lui parler pour la rassurer, mais elle m’a fui, allant se cacher derrière le bureau. J’avais l’impression que ça ne servirait à rien d’essayer tout de suite de la calmer. Comme je saignais toujours, j’ai décidé de la laisser se calmer et d’aller dans la salle de bains pour m’occuper de ça. Pendant que j’étais dans la salle de bains j’entendis sa voix, au téléphone avec ce qui semblait être la police. Elle leur dit avoir été violée dans sa suite au Ritz et que l’homme était encore sur les lieux. J’étais abasourdi. Qu’est-ce qu’elle baratinait là? Je voulais me précipiter pour l’arrêter, mais je savais qu’il était trop tard. Le mal était fait.

Quelques minutes plus tard, en ressortant de la salle de bains, je ne la voyais plus nulle part. Toujours complètement choqué par ce changement brutal de comportement, je restai planté là. Puis j’entendis un petit gémissement venant du placard. Elle avait dû s’y cacher. En effet, elle avait pris la lampe du bureau et s’y était enfermée avec. J’ai esquivé la lampe de justesse et décidé encore une fois de renoncer à essayer de la calmer. J’ai parcouru la chambre à la recherche de mes vêtements afin de me rhabiller. Mon visage se remit à saigner un peu et quelques gouttes tombèrent sur ma chemise. Une fois rhabillé, je suis retourné dans la salle de bains pour essuyer encore une fois le sang. À ce moment-là j’avais presque oublié qu’elle venait de me dénoncer aux flics.

En effet, ils étaient là en quelques minutes. Dans l’heure qui a suivi on m’a arrêté, amené au poste pour donner ma version des faits, puis mis en cellule. Il semblait que Patty m’avait trahi et accusé de l’avoir violée. Je n’avais aucune idée de ce qui se passait ou pourquoi elle m’avait fait ça. Assis dans la cellule, j’essayai de comprendre. Tout ce que j’arrivais à imaginer, c’est qu’elle avait trop bu et que ça l’avait conduit à faire quelque chose qu’elle regrettait, et en était maintenant choquée et m’avait accusé de l’avoir incitée à le faire. Mais non, ça ne tenait pas debout. J’avais un souvenir très clair du fait qu’elle m’avait pas mal dragué pendant toute la soirée de la veille. Et ça n’expliquait pas la corde. Quoique… Non, c’est pas mon genre, ça ne m’excite pas ce genre de jeu. Et puis, je n’avais même pas eu accès à une corde. Quoique… D’un coup je me rendis compte que mes souvenirs de la soirée n’étaient pas aussi clairs qu’ils auraient pu être. Outre le fait que cela n’était absolument pas cohérent avec mon caractère, j’aurais bien pu avoir accès à tous ces trucs, et je suis sûr d’en être capable. J’étais horrifié par les conséquences possibles de tout cela. Arrêté, condamné, enregistré comme criminel sexuel, ça pouvait bien ruiner ma vie entière. Et pourtant… Comment diable aurais-je pu sciemment faire quelque chose de la sorte? Je ne suis pas un type violent. Même face à des bagarres dans les bars, le plus que j’ose faire est d’appeler les videurs pour gérer la situation à ma place. Là, vu les circonstances, j’avais intérêt à appeler un avocat fissa avant de répondre à une quelconque question. En effet, quoi qu’il arrivât, dans cette société je ne pouvais rien faire. J’étais coupable par défaut. Autant se résigner au pire…

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